Les jours passaient dans un division intemporelle, coordonnés à la luminosité pâle du nord et les transmutations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient lentement, en spirale, comme par exemple si le ciel lui-même les désirait à bien poinçonner des symboles incorporels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait n'importe quel matin https://archerqbhnq.dgbloggers.com/34656627/le-cercle-obscur