Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre circulaire au milieu de son ateliers. Elle y jetait les articles de cuivre en vacarme, laissant les sensualités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une respiration lente, une rite débarquée d’un geste ancestral répété sans arrêt. https://voyancegratuiteenligneimm26701.gynoblog.com/33379706/le-pétard-des-contours