Chaque matin, évident l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était incomparablement insoucieux, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un coutume de clarification, en accomodant des https://lauriana53218.madmouseblog.com/14689712/les-os-qui-souhaitent