Au rallier du jour, la lumière traversait l’air sec en fines particules dorées, renforçant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait fixe devant le téléphone satellitaire, encore activé, notamment suspendu à une onde plus vieille que la voix humaine. Les derniers mots entendus la https://rylanwipvz.pointblog.net/le-sable-et-les-ondes-77794869