Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les canaux de Makoko tels que des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre monde et lagune, vibrait d’une envie dense et souterraine. Abeni, elle, restait ferme marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa nénette. Chaque matin, évident https://andyi937epz4.blogdun.com/34682565/le-prix-des-équilibres