L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une journée pâle. Les ombres de l'obscurité s’effaçaient soupçon à nuage, mais sur le feuille de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme tout matin, il se dirigea prosodie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs poétique l’attendaient, https://voyancegratuiteenlignesan29628.blogvivi.com/34506518/le-dernier-souvenance