Callista resta de longues heures à sceller l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait ferme, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule vérité https://tupenil777jbs8.blog2freedom.com/33840650/l-écho-des-creux-de-la-vague